Présentation | Une possible interprétation de la nature humaine.
Le peintre emprunte souvent aux univers de la danse et du cirque une gestuelle et une certaine rupture des corps pour créer ses “paysages humains”. Le rêve est prégnant et l’empreinte parfois séraphique ou mythologique. Ici, formes, couleurs, visions, participent d’une même intuition et invite le lecteur à une exploration de l’immatériel.
On suppose aussi dans le travail de Juliet C, un rapport esthétique au bestiaire animal et un rapport physique à la matière – l’acrylique – que le peintre sculpte, gratte, creuse, malmène. |