Présentation | Parallèlement à des études de philosophie, il poursuit une formation de réalisateur. À partir de 1978, il réalise pour les télévisions française, algérienne et canadienne une trentaine de documentaires.
En 1998, il interrompt sa carrière de documentariste pour commencer à peindre. Il crée un nouveau courant pictural: le mouvement surfiguratif ((http://www.artactif.com/fr/surfiguratif.php)) dont il exposera les grandes lignes dans un manifeste "Toute la lumière sur la figure", éditions Ex Aequo, 2009. « Surfigurer », écrit-il, « c'est prendre pour objet des sensations dont la source n'est plus le réel mais sa représentation rétinienne. Le monde est devenu une image et le peindre, c'est réécrire cette image ». C'est pourquoi, il utilise le plus souvent le pastel à l'huile qui a la particularité de se pratiquer comme une écriture sur une feuille de papier. Il renoue ainsi avec le ut pictura poesis des Anciens: la peinture est aussi une poésie.
Le mouvement surfiguratif est aussi évoqué par l'économiste Nicolas Bouzou dans son ouvrage "On entend l'arbre tomber mais jamais la forêt pousser", J.C. Lattès, 2013, dans lequel il montre que l'homme, grâce à la surfiguration, reste supérieur aux machines comme les machines à fabriquer des images qui sont en passe de tout envahir.
Marc Ellsmore écrit à propos de Jacques Cauda in Electric Gallery: " L'enjeu de sa peinture est de redonner une figure au monde!"
Ses œuvres, exposées et commentées[réf. souhaitée]1,2,3,4,5,6,7 à Londres, Amsterdam, Genève et Paris, rencontrent un public international 8,9,10,11,12,13, qui y a tout de suite reconnu cette émotion première que procure le tracé du tout premier trait qui est à la naissance de l'art |